mardi 19 mars 2013

Siloïsme: quand les sectes exploitent la misère.

les siloïstes sont paix et amour
Vous êtes rejetés par vos familles, vous êtes esseulés, personne ne vous aime ? Félicitations ! Vous avez le profil pour intégrer ces entreprises de re-sociabilisation qui prospèrent sur les ravages de l'individualisme, et qu'on appelle communément les sectes.

Si en plus de ça vous êtes chômeur, marginal, anarchiste, trotskiste, intermittent, nostalgique des années 70 ou fan de Colline Serreau, alors vous êtes faits pour la secte Siloïste, plus connue en Argentine et au Chili sous l'appellation "Mouvement Humaniste", et dont la branche européenne se fait appeler "Parti Humaniste".

Si vous êtes militant dans un syndicat, ou dans le groupement de partis de gauche GUE/NGL, ou si vous côtoyez la mouvance anarchiste, ou si vous faites de l'action humanitaire en faveur des réfugiés, ou encore si vous avez participé aux "Z.A.D.", aux actions "Occupy", aux rassemblements du "Mouvement des Indignés", ou aux opérations de hacking "Anonymous", ou si encore vous avez subi des formations en entreprise suspectes ou des pseudo-cours de droit du travail louches, alors vous avez très probablement, et sans le savoir, croisé des rabatteurs de cette secte sous-marine, et pour cause: vous vous trouvez en plein sur leurs terrains de chasse.



Genèse du culte du Rien: le mouvement hippie.

La secte siloisite fut fondée dans les années 60 par un certain Mario Luis Rodriguez Cobos, surnommé "Silo" par ses adeptes. Fils de propriétaire terrien, et ami d'un prêtre, il préchait l'évangile dans les quartiers pauvres.

Après avoir acquis une solide expérience dans l'art de séduire les miséreux, Mario Luis troqua son évangile contre un culte qu'il voulait plus fédérateur, et qui consistait à prêcher le rien, de manière à râtisser extra-large. Le tout agrémenté de cette spiritualité new-age, très en vogue dans la période hippie, faite de séances de méditation, de groupes de parole, visant à rechercher une éspèce d'harmonie intérieure axée sur la non-violenece et le self-developing, et qui transformerait la planète en paradis des bisounours.

Pour en savoir plus: http://www.prevensectes.com/huma.htm

Derrière ses airs naïfs, peace and love et innocents, le mouvement hippie avait un dessein moins avouable: canaliser la colère de la jeunesse dans de la spiritualité de pacotille, dans la musique niaise du show-biz, dans la marginalisation et la clochardisation, en bref, l'art de tuer une révolte par la destruction mentale. Beaucoup de hippies finirent clochards, fous, ou embrigadés dans des sectes.

C'est en vertu de cette mécanique sournoise que les gouvernements ont toujours été laxistes, voir parfois complaisants, vis à vis du Mouvement Humaniste. La dictature Argentine qui avait d'abord combattu les siloistes, a fini par leur donner quartier libre car ils avaient le mérite de paralyser la jeunesse révoltée.

Si la secte Siloiste a pu survivre à la période hippie, c'est grâce à leur tendance à recruter le gros de leurs troupes chez des miséreux qui sont déjà marginalisés, clochardisés et détruits, et qui donc, n'ont plus rien à perdre, voir presque tout à gagner à rejoindre une communauté qui leur offre une bulle de chaleur, l'illusion d'appartenir à une famille, à une tribu de survie.

Le siloisme tire toute sa force de cette faille humaine: l'instinct grégaire des plus vulnérables.


Une structure pyramidale tentaculaire, secrète, et ultra-capitaliste.

En 30 ans le Mouvement Humaniste devient une véritable multinationale, sa croissance rapide étant dùe à leur structuration en pyramide à exposant 10.

Pour devenir adepte, il faut d'abord recruter 10 nouveaux candidats. Une fois la tâche accomplie, le nouvel adepte devient responsable de ses dix prétendants, et fonde un nouveau groupuscule. Chaque prétendant doit à son tour fonder un groupuscule de 10 prétendants.

Cette pyramide de "collectifs", en plus de générer une croissance exponentielle, a l'avantage de brouiller les pistes en dissimulant le sommet de la hiérarchie derrière la stratégie du râtisser large. Le fondateur d'un groupuscule est libre de lui donner la couleur qu'ils souhaite: collectif d'artistes, d'intermittents, coaching, spiritualité, humanitaire, défense des chômeurs, militantisme de gauche... ou même néonazi, ils l'ont fait aussi, tout est possible. Il est donc très difficile, au premier abord, de savoir que le Mouvement Humaniste se trouve derrière cette nébuleuse de groupuscules sans lien apparent.

La pyramide est structurée sur le modèle de la société capitaliste, le salaire en moins, escroquerie sectaire oblige. En haut de la hiérarchie, les plus aisés dépensent leur argent dans des stages de méditation, et financent des faux partis politiques. Tout en bas de la hiérarchie se trouvent les plus pauvres, qui travaillent bénévolement à la promotion du mouvement: manifestations, affichage, musique, webmarketing, bénévolat, rabattage... la majorité d'entre eux sont convaincus d'oeuvrer pour une bonne cause, autant dire que le choc émotionnel est ultra-violent le jour où ces pauvres gens découvrent qu'ils ont été exploités et détruits par un réseau de crime organisé.

Car en coulisses, les soi-disant humanistes ont des pratiques qui sentent pas bon, l'un d'entre eux a été récemment mis en examen pour trafic de vidéos pédophiles.

http://dondevamos.canalblog.com/archives/2012/09/26/25188274.html

A partir de là, il n'y aurait plus rien d'étonnant à découvrir du trafic d'organes et autres spécialités des maffias sud-américaines.


L'implantation en Europe: le Parti Humaniste

les humanistes sont des gentils et n'aiment pas le méchant système

Après avoir prospéré en Argentine et au Chili, les siloistes ouvrent des filiales en Amérique du Nord, en Afrique et en Europe.

Le Parti Humaniste, branche européenne du Mouvement, existe depuis les années 80. Jusqu'à la fin des années 2000 ils sont restés discrets et, à l'instar des scientologues, ont patiemment infiltré un maximum de postes stratégiques dans le monde de la politique, de l'humanitaire, de l'entreprise, et toutes ces sphères convoitées par l'infiltration sectaire.

La grande force marketing du mouvement siloiste se base sur une armée de marginaux et miséreux, pilotés par quelques chefs avec un statut social supérieur, et qui font bénévolement la promotion de l'organisation. C'est pourquoi ils recrutent en priorité des informaticiens, des intellectuels, des artistes, des écrivains, des sociologues... et que leur terrain d'infiltration politique de prédilection se situe chez ceux qui plaident en faveur des plus pauvres: anarchistes, trotskistes, Front de Gauche, NPA, CNT, GUE/NGL, MNCP, AC, FO, Stop Précarité, etc. L'infiltration de l'aide humanitaire aux réfugiés politiques leur sert de couverture pour faire rentrer des rabatteurs, et c'est évidemment en Espagne qu'ils pullulent le plus, économie de cours de langue oblige.

En bonne secte qui cherche à se donner du crédit, les Humanistes courtisent des intellectuels populaires, dont ils squattent le prestige et la notoriété, par exemple Noam Chomsky, ou, plus récemment, un certain Stéphane Hessel...

Phase de rabattage massif: Occupy, les Indignés, Démocratie Réelle, les Z.A.D...

les indignés, des gentils hippies gauchistes
La secte humaniste, désormais solidement implantée en Europe, profite de la crise financière et du printemps arabe pour entamer une première démonstration de force dans l'art de noyauter et manipuler les mouvements de foule.

Au moment où explose le faux mouvement de contestation "Occupy Wall Street", financé en sous-marin par Georges Soros, (et dont la prolongation #globalchange sera relayée sur le web par un membre de l'onu avec un manque de discrétion lamentable) le livre de Stéphane Hessel est surmédiatisé en Europe, son titre "Indignez-Vous" donna son nom au fameux mouvement "indignado" espagnol. Une massive rébellion de pacotille qui rappelle la vague hippie, voilà un parfait terrain de chasse pour le Parti Humaniste.

Envahissants sur le web militant, et notemment sur facebook, les indignés font un copieux travail quotidien de spamming, une véritable armée de webmarketing bénévole.

En Espagne c'est un succès énorme, la colère de la population au chômage fut massivement phagocytée par les rassemblements indignés. Rassemblements consistant à ne rien faire, mais de manière festive et vaguement rebelle, autant dire se complaire dans le chômage.

On a également pu les voir à l'oeuvre dans des villes de France, notemment à Paris.

Tout d'abord, des rassemblements massifs place de la Bastille, des tags partout, des affiches pleines de fautes d'orthographe revendiquant un monde plus gentil et moins méchant, des sitting de débat sur l'ouverture de groupes facebook pour "construire la démocratie"... vu de loin tout ceci a l'air innocent et comique, on a l'impression de voir une bande d'étudiants naïfs qui jouent à mai 68, rien d'alarmant à première vue. Sauf que... le rassemblement ne s'est pas fait sans dégâts. Il était non-autorisé, la police a donc été envoyée disperser ce petit monde - après les avoir laissé s'amuser un temps - les confortant ainsi dans l'idée qu'ils sont des résistants opprimés par un système fasciste. Les directives des organisateurs quand aux réactions face à la police sont bien étranges: les manifestants doivent résister "pacifiquement", "sans violence", en un mot: se laisser docilement transporter dans le panier à salade, voir reçevoir quelques coups de matraque sans prendre la fuite, bien que ces coups de matraque tombent plus souvent sur le nez de badauds attirés par un regroupement festif, que sur les adeptes eux-mêmes...

Leur vrai visage est l'exact contraire de celui qu'ils montrent aux médias: une fois terminée la festivité estudiantine, reste sur place le noyau dur des indignés: des voyous et des tarés qui n'ont rien de baba-cool. Derrière la facade pacifique et non-violente, en marge du rassemblement, en coulisses, des petites patrouilles de psychopathes ultraviolents sont chargés de casser la gueule, de préférence à 4 contre un et par derrière, aux imprudents qui s'aviseraient de critiquer leur mascarade grotesque. Car derrière leurs airs de gentils beatniks, les indignés ont des méthodes pas vraiment pacifiques pour éjecter du mouvement les esprits lucides susceptibles de dénoncer l'imposture.

Parmi l'interminable liste de rassemblements indignés à Paris, (liste qui s'allonge toujours), le plus gros fut nommé "Occupy la Défense". Cet acte de "rebellion" consistait à établir un camping sur place, qui s'est prolongé jusqu'aux périodes de froid. Le public était invité à s'adonner à une activité bien étrange: glandouiller toute la journée le cul par terre et congeler sur place jusqu'à chopper une pneumonie. Dans toute la France furent également organisées des longues marches en rase campagne et en plein hiver.

C'est bien connu: le froid, ça sert à tuer les pauvres.

Et depuis 2012, ce joyeux monde s'est mis à infiltrer les paysans écolos dans les Z.A.D. (zone à défendre) notemment celle de Notre-Dame des Landes, où ils ont établi un camping d'hiver en cabanes de fortune, et prétendent empêcher une construction d'aéroport pour bâtir un écovillage avec des brindilles. L'armée est sur place pour les déloger, ce qui les conforte davantage dans l'idée de résister à un système qui les opprime.

Assommer le futur adepte par le froid, la privation de sommeil et de nourriture, casser son bon sens et détruire le souci de son avenir en l'entraînant dans d'étranges "actions" qui consistent à ne rien faire, à part bousiller sa santé physique et mentale, telles sont les méthodes de rabattage de ces grands "Humanistes".

Et bien sûr, on hésite pas à instrumentaliser les enfants, en plus d'un vieillard, pour assurer la régression intellectuelle du mouvement:



En tenue de camouflage.

L'aspect le plus spectaculaire de cette démonstration de force, c'est qu'il est, à première vue, impossible d'y voir un quelconque lien avec le Mouvement Humaniste, ni avec l'ONU ou Soros d'ailleurs... et ce malgré un art du camouflage médiocre, on va y venir. Les naïfs embarqués là dedans croient militer, faire du bénévolat, manifester pour des nobles causes, sans avoir la moindre idée de pour qui ils travaillent en réalité.

Pour pousser l'enquête plus loin, il fallut approcher d'obscurs groupuscules, toujours présents dans les rassemblements indignés, étroitement connectés les uns aux autres, dont la structure occulte n'est ni associative, ni syndicale, et se cache derrière le nom de "collectif". Liste non-exhaustive de ces groupes louches:

- démocratie réelle (soi-disant parti politique clandestin)
- réseau stop stress management (soi-disant cours de droit)
- cafards montreuil (soi-disant stages de fraude de la CAF)
- coordination intermittents et précaires (soi-disant collectif de défense des intermittents)
- résistances d'abord, le journal de personne (soi-disant collectifs artistiques, visant à subtiliser des oeuvres pour faire la promo du mouvement)
- mouvement matricien (soi-disant groupe féministe, constitué d'hommes polygames)

Impossible de savoir si ces collectifs ont été infiltrés par les humanistes, ou s'ils furent directement crées par les branches de la pyramide, mais peu importe.

Dans ces collectifs obscurs, on retrouve les mêmes meneurs, le même soutien aux "indignés", et tous convergent vers d'étranges rituels de groupes de parole qu'ils surnomment parfois "assemblée générale" (même si la plupart de ces rassemblements comptent en moyenne 10 personnes), et qui, en façade, ont l'air de singer grossièrement les sittings baba-cool des années 70, afin d'installer une ambiance anachronique curieuse et déroutante.

Mais la plupart des personnes qu'on rencontre dans ces réunions sont aux antipodes de l'image de façade baba-cool des indignés. Une élocution hystérique qui suinte la haine, des regards vides à la M Le Maudit, des sortis d'asile psychiatrique, des autistes, des sud-américains suspects au comportement sournois, que du beau monde peace and love. On ressent en permanence une hostilité sourde, une peur silencieuse qui dissuade la majorité de broncher. Rien à voir avec un convivial et chalereux débat démocratique de beatniks...

Que ces rituels se déroulent dans des bars, dans des locaux syndicaux, ou en pleine rue, le protocole est toujours le même. Les participants doivent respecter un "tour de parole", prétexte habile pour que le chef du rassemblement se mette à gueuler dès que deux personnes essayent de dialoguer, même à voix basse ou hors de la salle. On assiste donc à une suite de monologues où chacun raconte sa vie et/ou fait la promotion de son groupuscule. Tout dialogue est interdit, excepté occasionnellement entre certains membres de rang supérieur. Un mode de communication pas vraiment "cool", pas vraiment "démocratique", et aussi infantilisant que déroutant. On passe donc la réunion à se poser des questions illogiques telles que "comment font-ils pour communiquer sans dialoguer ?" ou encore "quel est le sens de leur inaction ?", on est tellement abasourdi par l'absurdité du protocole, qu'en fin de réunion on est bien trop dans les vapes pour penser à mettre un faux nom sur la feuille qu'ils font circuler pour récolter vos coordonnées. Lors de certaines réunions on peut aussi assister à la diffusion de pseudo "documents audio" qui traitent de sujets graves de façon complètement niaise et infantile. Et enfin, cerise sur le gâteau: on voit certains adeptes "communiquer" dans un langage des signes ridicule qui ressemble à un croisement entre la danse crazy signs du club med, et celle des petites marionnettes qu'on apprend en maternelle.

N'importe quelle personne sensée qui assiste à ça, après avoir repris ses esprits une fois passé l'état d'étourdissement, jure de ne plus jamais y remettre les pieds. Ce filtrage leur permet de recruter principalement des simple d'esprit, des handicapés mentaux, des fous, des marginaux ou retraités esseulés prêts aux pires compromis pour trouver de la compagnie... et aussi des vicieux qui ont compris la manoeuvre et ricanent en silence.

Ces méthodes de destruction de l'adepte par le froid et la fatigue, ce néant de revendications, ce rituel de monologues, ces bandes audio assomantes, ces promesses d'une bulle de chaleur humaine pleine d'amour et d'amitié pour attirer le pigeon, ce gloubiboulga irrationnel qui paralyse toute volonté d'action utile, tout cela ressemble de très près au protocole d'endoctrinement décrit par les anciens adeptes du Mouvement Humaniste, à la différence que la spiritualité new-age est remplacée par une façade de militantisme de pacotille.

Mais à ce stade, toujours impossible de remonter leur hiérarchie occulte jusqu'au Parti Humaniste.


Le pot aux roses découvert

Il fallut aux indignés un long temps d'inertie et d'enquête collective avant de remonter la piste.

Un premier témoignage d'indigné en vidéo mit le doigt sur deux indices:

1 - L'une des chef de Démocratie Réelle, soi-disant parti prétendument indépendant, fait partie en réalité de la GUE/NGL . Derrière Démocratie Réelle se cache donc des structures politiques déjà établies.

2 - Leurs assemblées bizzares ont tout d'un rituel sectaire.

On aurait donc affaire à une secte qui infiltre le terrain GUE/NGL... tiens tiens.

Au fil du temps les indignés marseillais finirent par repérer des membres du Parti Humanistes parmi les coordinateurs internationaux.

http://www.democratiereelle86.fr/2011/11/les-indignes-sont-ils-%C2%AB-victime-%C2%BB-d%E2%80%99une-manipulation/

http://democratie.exprimetoi.net/t815-des-personnes-de-la-secte-des-humanistes-chez-les-indignes-de-marseille

Les organisateurs indignés contre-attaquent alors par un argument pas très convaincant: le Parti Humaniste aurait tenté d'infiltrer les indignés, mais rassurez-vous, tout va bien, ils auraient été chassés du mouvement.

Ha oui ?


Déjà, prétendre avoir viré des chefs haut placés est risible. Quand les humanistes décident d'infiltrer un mouvement, un parti, un syndicat, une asso humanitaire ou n'importe quoi d'autre, le temps de mener l'enquête pour repérer leurs noyauteurs et les éjecter peut prendre plusieurs mois ou même plusieurs années, et d'ici là ils ont largement eu le temps de préparer des remplaçants qu'ils enverront à leur place, avec un camouflage à chaque fois plus perfectionné, les virer de leurs terrains de chasse est donc impossible en raison de cet habile jeu de chaises musicales. A fortiori quand le terrain infiltré n'est pas un parti ou un syndicat structuré, mais une simple pièce de théâtre bordélique... Et comment expliquer ces pratiques ouvertement sectaires qui ressemblent en tous points à celles du Parti Humaniste ? Et puis s'ils avaient une influence négligeable sur le mouvement, comment expliquer que de simples infiltrateurs soient aussi haut placés dans sa hiérarchie ? Et maintenant qu'on sait que dans la hiérarchie des organisateurs de cette farce mondiale, au dessus des humanistes se trouvent des puissants intouchables, prétendre avoir le pouvoir de les virer du mouvement... c'est vraiment se foutre de la gueule du monde.

Les siloistes, récupérateurs opportunistes de la mascarade financée par Soros, ou instigateurs organisés du mouvement indignés ? Peu importe: l'un n'empêchant pas l'autre, la question de savoir si les humanistes se sont invités eux-mêmes dans cette pièce de théâtre internationale, ou s'ils ont été invités par quelqu'un d'autre, ou s'ils ont demandé gentiment s'ils pouvaient être invités... ça n'a pas grande importance. Ils sont de la partie, c'est tout. Quand on sait les relations de complaisance qu'ont pu entretenir les gouvernements d'Amérique du Sud avec les siloistes pour paralyser les révoltes populaires, il n'y a aucune raison pour que ceux d'amérique du Nord et d'Europe se privent de les imiter...

Il est par ailleurs avéré que le mouvement indigné est un terrain de chasse des humanistes, puisque cela fait quelques années que le Parti Humaniste le revendique ouvertement sur ses sites internet:

http://www.partihumaniste.be/index.php?option=com_content&view=article&id=33:indignez-vous&catid=16:presses&Itemid=118

screenshot: http://img15.hostingpics.net/pics/376184humanistesscreenshots1.gif

http://partihumaniste.canalblog.com/archives/2011/11/14/22679480.html

screenshot: http://img15.hostingpics.net/pics/144362humanistesscreenshots2.gif

Et pourtant... même en leur mettant l'évidence sous le nez, les adeptes solidement endoctrinés croient dur comme fer aux mensonges de leurs chefs.

Des rapports ambigus avec les médias, les syndicats, l'état et la police.

On est en droit de se demander où cette fédération internationale de pauvres marginaux trouve les moyens de pondre des oeuvres de cette qualité:


Si les indignés, en bon rebelles qu'ils prétendent être, vomissent officiellement les flics, les syndicats, les médias et l'état, leurs relations avec ces institutions laissent planer un doute.

Les médias: Les indignés trimballent toujours avec eux des journalistes qui les suivent dans tous leurs rassemblements publics. On a pu les voir en compagnie ces cameramen de canal+, des micro-trottoir de france bleu, de photographes de presse... et lorsqu'ils s'invitent pour squatter les manifs, ils bondissent sur tout ce qui tient un micro et un appareil photo. Les indignés prennent systématiquement les coordonnées des journalistes qu'ils rangent dans un copieux carnet d'adresses, afin de les convier à médiatiser leurs actions. Etrange pour un mouvement de soldats de l'ombre qui se disent en guerre contre les vilains médias du système. Comment expliquer que les indignés bénéficient de l'appui des journaux quotidiens, des radios, des webzines, et même de chaînes de télé ? Les médias sont souvent prompts à bondir sur une secte, enfin ça dépend lesquelles... deux poids deux mesures oblige, on tape pas sur celles qui servent des intérêts supérieurs, on comprend donc pourquoi ils font la promo des indignés sans jamais évoquer leurs pratiques sectaires, ni le Parti Humaniste pourtant présent en France depuis 30 ans.

Les syndicats: Les indignés sont officiellement anti-syndicats, du moins dans leur discours... on s'étonnera donc de voir autant de syndicalistes dans leurs rassemblements et leurs collectifs. Mensonge pratique pour faire d'une pierre trois coups: se draper dans des postures de rebelle, ratisser large jusqu'aux poujadistes, et discréditer le concurrent qu'on infiltre.

L'état: Maintenant qu'on en est plus à une imposture près, on ne s'étonnera pas de trouver chez les chefs des indignés des personnes ayant travaillé dans les hautes sphères de l'état, avec une belle carrière politique, formés aux grandes écoles, publiés à la fnac... ni de rappeler que les indignés ont reçu le soutien de Ségolène Royal, Jean-Luc Mélenchon, et autres personnalités politiques du vilain méchant état pas beau.

La police: Leur relation suspecte est presque folklorique. Les indignés organisent constemment des rassemblements non-déclarés, donc illégaux. La plupart du temps, la police ne les disperse pas, elle se contente de les encadrer depuis un fourgon. Lorsqu'elle les disperse, c'est ponctuel, rare, et après les avoir laissé faire les singes pendant plusieurs heures, voir plusieurs jours, plusieurs semaines ou plusieurs mois... étrange cette soi-disant infâme répression policière fasciste. Autre fait troublant: la police est systématiquement présente à leurs rassemblements rebelles prétendument clandestins... faut-il soupçonner la présence d'indics dans leurs rangs ? Voir une collaboration secrète avec la police ? Quoiqu'il en soit, leur rapport étrangement complaisant avec la police a tout d'une pièce de théâtre qui donne une illusion de rébellion.

Tous ces faits convergent à confirmer l'idée qu'on se faisait intuitivement du vrai visage des indignés: une secte multinationale de mafiosos, instrumentalisée par les puissants de ce monde pour canaliser la colère des peuples dans de la branlette clochardisante. Le mouvement hippie n'est donc pas mort, il a juste mal vieilli.


La perfection dans la destruction mentale

Observons maintenant à quoi ressemble un adepte moyen du noyau dur des indignés. Le profil idéal du recrutable: un marginal vaguement politisé, moitié intello-artiste / moitié analphabète, un brin autiste, un brin mégalo, feignant, baratineur, et dans l'idéal, avec une bonne dose de vice, de complaisance et de mauvaise foi. Une fois sélectionné pour ces qualités, l'adepte est sollicité tous les jours par téléphone pour assister à leurs réunions bidon, donc, en immersion totale, en lavage de cerveau intensif.

Au bout de quelques mois leur rituel de monologue a fait son travail: l'adepte indigné est devenu incapable de toute forme de dialogue. Il n'écoute rien, il coupe la parole, il parle tout seul et se contrefiche de ce que vous avez à lui répondre. Il est l'illuminé qui a tout compris, qui a reçu la lumière, et quiconque est en dehors de sa secte est un "mouton", un "collabo", un sale connard qui n'a rien compris et qu'il faut réeduquer en lui crachant son mépris à la gueule. Car, si les adeptes indignés sont non-violents devant les caméras, ils pratiquent la violence psychologique et verbale, l'intimidation physique sourde, le mépris hautain, bref un comportement qui vous donnerait presque envie d'encourager les flics à les tabasser.

Leur discours est principalement composé d'un charabia irrationnel qui paralyse toute initiative d'action et toute logique. Depuis des années ils répètent inlassablement "il faut agir", mais ne font rien, tout en étant convaincus qu'ils vont renverser le pouvoir financier mondial en faisant les imbéciles devant les flics. Si vous tombez dans le piège de leurs coopératives de travailleurs ou leurs collectifs d'artistes, et que vous évoquez la question de comment vous êtes payé pour votre travail, ils sont capables de baratiner des conneries incompréhensibles pendant quatre heures pour vous endormir et évincer à tout prix ce genre de question gênante.

Quand l'adepte est militant de rue (tâche principalement reservée aux femmes, pour mieux apitoyer et appâter), son action se résume à faire peur à la foule avec un comportement furieusement ridicule et antisocial, passer ses journées assis par terre dans la pisse de chien, tagger au stylo, hurler des niaiseries aux passants avec une assurance consternante, s'embrouiller avec les flics juste pour le plaisir, singer les manifestants chinois en faisant des barrages humains en groupe de dix, monologuer à plusieurs durant des journées entières sur des sujets aussi constructifs que le complot illuminati-judéo-maçonnique et la dernière blague de groland.

En dépit de leur état de santé mentale et physique souvent critique, et de leur situation sociale souvent misérable, leur comportement pathétique et furieusement irrespectueux n'inspire aucune pitié et donne plutôt envie de leur coller des tartes dans la gueule.

Il s'agit d'une méthode classique des sectes pour verrouiller l'adepte. Du fait qu'il est devenu rabatteur à son insu, les gens du monde extérieur le voient comme un coupable alors qu'il est victime. Un adepte inspire davantage la colère que la pitié. Si c'était votre fils ou votre fille, vous n'auriez pas tellement envie de chercher à comprendre sa souffrance, vous auriez plutôt envie de lui casser la gueule pour lui apprendre à côtoyer les truands des sectes. Vous le confortez alors dans l'idée que le monde extérieur à la secte est méchant.

Ainsi, il n'y a plus qu'à l'intérieur de la secte qu'ils trouvent un semblant de respect, une illusion de paix et de non-violence. Aucun espoir d'en sortir donc, d'autant plus que l'adepte bien dressé a des réactions de fuite ou de rejet devant quiconque cherche à lui faire prendre conscience qu'il est temps de foutre le camp de sa secte de cinglés au service du crime organisé, il réagit comme si vous vouliez l'arracher à sa famille.

Car le fond du problème des sectes est là: l'adepte a besoin d'une famille de substitution, d'une tribu de survie. Pour qu'il puisse sortir de là, il faudrait qu'il trouve la force de casser son instinct grégaire, qu'il trouve la force de supporter les souffrances de la solitude, qu'il trouve la force de se défendre tout seul, qu'il trouve la force de ne pas céder aux chantages et menaces de ses chefs. Or, non seulement l'adepte était déjà faible avant d'entrer en secte, mais une fois réduit à l'état de zombi hystérique, c'est à peine s'il lui reste encore la force de marcher. Rajoutez aussi que la secte indignés, à l'instar des scientologues, se rachète une virginité en préservant les adeptes contre la toxicomanie et l'abus psychiatrique, d'où une véritable illusion de bulle protectrice contre le reste du monde qui ne peut être qu'affreux sale et méchant.

Rajoutez par-dessus tout ça que l'adepte n'a aucune conscience d'être dans une secte, car ses chefs lui ont martelé que son mouvement n'a aucun lien avec le parti humaniste... peu-importe la grossièreté du camouflage, tant que l'adepte n'y voit que du feu.

Rajouter encore que, du point de vue de l'adepte, quiconque s'oppose à cette secte aux prétentions gauchistes et révolutionnaires, est forcément un facho, un flic des RG en civil, un sale capitaliste pourri, un auxiliaire de la psychiatrie, ou pire: un infâme collabo syndicaliste à la CGT, la pire insulte chez les indignés. Ca n'est pas parce que les humanistes infiltrent les syndicats que ça les empêche de cracher dessus de toutes leurs forces, on est purement dans des méthodes concurrentielles sauvages ultra-libérales. Les mêmes relations schizophréniques sont entretenues avec les sectes politiques concurrentes: soraliens, larouchiens, etc... on infiltre le concurrent d'un côté, on le discrédite de l'autre.

Et rajoutez enfin que, de toutes façons, ils vous prennent pour des cons et n'écoutent rien de ce que vous dites.

Si un adepte-sans-le-savoir a pris la fuite avant de finir à l'état de légume, il n'est pas au bout de ses peines. Il continuera longtemps à croire aux wagons de salades qu'il a avalées, impossible de tout recracher d'un coup. Par ailleurs, cette expérience épouvantable peut facilement le dégoûter à vie du militantisme gauchiste, voir lui donner l'envie de prendre sa carte au Front National par vengeance... même si le rôle des siloistes en France est exactement le même que celui du FN: le rôle du charognard qui bouffe ce qui reste du cadavre de la gauche.

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